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ltbp.org : programmes : pollution
 
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L'objectif de notre Etude Spéciale de Pollution (ESP) était de: identifier les principales sources de pollution, déterminer l'endroit et la façon dont une telle pollution affecte négativement la biodiversité, et mettre en place un programme de surveillance de la pollution du lac.

Pour qu'un programme de surveillance soit adéquat, il est important de travailler au sein des institutions nationales établies au bord du lac. A certaines de nos stations reculées, nous avons travaillé avec les services de pêche qui, normalement, n'ont pas la mission d'étudier la pollution. En conséquence, il a été nécessaire d'assurer une formation poussée en faveur du personnel des pays respectifs en matière d'échantillonnage de la pollution et des méthodes chimiques dès le début du programme de travail de l'ESP. Cette formation a été réalisée avec succès, et toutes les quatre stations ont formé leurs équipes en matière de surveillance de la pollution des eaux du lac (Fig.1).

L'Etude Spéciale de Pollution a mis un accent particulier sur la formation en matière de la surveillance des paramètres limnologiques qui reflètent la salubrité globale de ces eaux.

Cette étude montre que la Baie de Bujumbura (Burundi) est la plus riche en éléments nutritifs et se trouve être ainsi la plus affectée par les activités humaines (Fig. 2). Mais les donnéxes de l'ESP indiquent que même des villes plus petites, telles que Kigoma en Tanzanie et Mpulungu en Zambie, montrent que les apports de l'homme ont actuellement un impact considérable sur la qualité des eaux.

Les données sur les éléments nutritifs et la clarté de l'eau de la côte Tanzanienne montrent que la Baie de Kigoma et sous eutrophisation, et que les eaux non-traitées de la Baie de Kigoma ne sont pas bonnes pour la consommation humaine. Des études semblables effectuées à Mpulungu montrent moins bien moins d'indicateurs d'eutrophisation.

Les données sur le plancton indiquent que les espèces eutrophiques sont abondantes dans la Baie de Bujumbura, courantes dans la Baie de Kigoma et rares dans la Baie de Mpulungu, en comparaison avec l'abondance de ces espèces dans les eaux du large ou dans les eaux adjacentes aux bassins versants protégés (Fig.3).

 
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